samedi 30 mars 2024

30 mars : Le clap de fin

Voilà, c'est le clap de fin de voyage et le moment de faire le point sur notre ressenti. 

Nous avons passé 2 mois dans un pays au paysages variés, entre mer, montagnes et déserts. Le climat est très agréable en hiver avec des températures de 25 à 30 degrés. Le pays souffre de la sécheresse, il n'y a pas eu de pluies importantes depuis quelques années. 

La langue française est couramment parlée, facilitant ainsi les échanges. Nous apprécions la gentillesse des Marocains qui n'hésitent pas à nous apporter leur aide si besoin. 

L'inflation a également gagné le pays. Si le pain, le gaz et quelques denrées alimentaires n'ont pas augmenté, tout le reste est devenu plus coûteux. Pour nous, c'est quand même bien moins cher qu'en France. Nous sommes toujours heureux de déambuler dans les souks qui regorgent de fruits, légumes et bric-à-brac en tout genre à petits prix. 

Côté sécurité, il n'y a rien à craindre. La police royale, la gendarmerie royale, la sécurité du territoire veuillent sur la tranquillité des habitants. Le touriste n'est pas inquiété sauf s'il commet une infraction routière. Il doit passer à la caisse et pas question de discuter. 

Le Maroc, un pays à découvrir et redécouvrir avec de belles rencontres inattendues. Dernières images.

Les Marocaines en balade.

Dans les dunes à Merzouga.


Les caravanes de dromadaires.

La chandeleur au Maroc.

Miam, Miam !!!


L'apéro entre amis.

Une multitude d'épices.

On appelle ça : les Noces d'or.

Avec les portraits.

Quelques enfants.

Le vendeur de poissons au camping.

Qui va sauter dans la marmite ?

Les tajines marocaines.

C'est avec plaisir que nous avons partagé cette escapade avec vous.

 

mardi 26 mars 2024

26 mars : Le printemps dans les jardins

Et on rajoute une petite couche. Nous avons quitté la saison estivale du Maroc avec l'arrivée du printemps en France. Côté pluie, c'est vraiment l'injustice, rien sur le royaume marocain, tout a été déversé sur notre hexagone. Avec ce changement de saison, les jardins sortent de leur sommeil. Déjà le jaune, le blanc, le bleu, le rouge et l'orange émergent des massifs. 

Une allée gravillonnée bordée de jonquilles

 


 
Le banc de bois pour contempler la nature.

Le jaune illumine les parterres.

Nous avons fait une halte à une quinzaine de kilomètres de Tours dans cette petite commune connue pour son château mais surtout pour ses jardins. Nous sommes à Villandry, sur les bords de Loire. Jonquilles, tulipes, myosotis, pensées et autres fleurs garnissent les massifs bordés de buis. Les floraisons viennent à peine de commencer mais promettent une explosion de couleurs.  

Le château et les massifs bien délimités.

C'est ce qui s'appelle "Le jardin à la française".

Les tulipes apportent de la couleur aux haies.

Une floraison encore timide.

Les carrés potagers en second plan.

Les alignements de plants de salade.

Les godets en attente de plantation et les serres à droite.

Un blanc immaculé.

Les vivaces s'éveillent.

Le parc compte plus de 1 000 tilleuls, taillés chaque année.

L'un des 10 jardiniers à l'ouvrage.

Le jardin d'eau très apuré.

Le cygne au bord de la cascade.

Si, si, je vous l'assure, ça mord très bien. 🐟🐟🐟

Pas sûr qu'il soit bien frais ce poisson qui pendouille.

lundi 25 mars 2024

25 mars : France en vue

Après l'Espagne, la France, mais nous ne mettons pas de suite le cap sur notre région. Le paysage a retrouvé ses couleurs printanières.

La nature nous offre une magnifique explosion de fleurs.

 
Les vignobles sont encore en sommeil.

Les plantations tirés au cordeau.

Vous prendrez bien un petit verre de ce petit cru, en passant.

Après la remontée par les coteaux de la région bordelaise, nous poursuivons vers le nord avec un arrêt déjeuner à Poitiers. Tout le monde connaît le Futuroscope, n'est ce pas. Cette année, le site a soigné son accueil et de gros investissements ont été réalisé ou sont encore en cours d'achèvement. Une visite à prévoir dans un futur proche certainement. Quelles photos extérieures qui donnent envie.

L'accès au site.

L'entrée.

Hôtellerie et restauration.


L'aquascope en phase d'achèvement, ouverture cet été.

Troqué mon camping-car contre cet engin plus léger.

Mais, qu'est ce que c'est que ça ? 💡💡

La zone d'entraînement des futurs astronautes.
On continue................................

vendredi 22 mars 2024

22 mars : Ne raccrochez pas !

Nous ne voulions pas vous quitter comme ça. Même pas un "au revoir", même pas une conclusion, vraiment pas sympa. Un peu de pitié tout de même, pour vous ! Alors, Viva Espagna !!!

Nouvelle couleur en Espagne, c'est l'autoroute rose.

 Il est 12h, le clignotant à droite et hop, c'est l'arrivée sur l'aire de camping-cars de la ville. Installation, repas et c'est parti pour une visite pédestre de 3 heures. Chaussez vos baskets, prenez vos smartphones et suivez nous. 

L'arbre de Judée en pleine floraison.

Des vieux cailloux.

Encore des vieux cailloux mais bien rangés cette fois.

Ça alors, nous ne sommes pas en Espagne mais plutôt en Grèce. Il y aurait tromperie sur la marchandise ou quoi. D'abord, nous avons demandé le tarif "Réducido" sans trop savoir ce que cela voulait dire. La caissière a baratiné quelque chose en espagnol et nous avons capté 65. Bingo !!! Les séniors ont droit à un tarif qui passe de 17€ (prohibitif) à 8€ (plus raisonnable). Même pas besoin de sortir la pièce d'identité, notre bonne foi sert de justificatif. Ici, c'est Mérida, en Espagne, ville de 60 000 habitants avec un patrimoine antique.

 

Mérida, classé au patrimoine mondial de l'Unesco.

Une piqûre de rappel au cas où.


Les chapiteaux et les colonnes.


C'est un poste de surveillance là-haut ?

Le théâtre et ses colonnes de marbre.

A l'origine, c'était ainsi.

Prise de vue du côté gauche, c'est aussi beau.

 L'allée menant à l'amphithéâtre.

L'amphithéâtre moins bien conservé.


Le site archéologique romain de Mérida serait le plus important de la péninsule ibérique. On y trouve un théâtre de 6 000 places avec une scène et un amphithéâtre de 15 000 personnes, plus ancien. Fêtes et évènements culturels ont lieu sur ces sites dans le courant de l'année.

Mise au point : ces 2 personnages ne sont pas d'époque romaine.

Nous quittons ce complexe touristique pour nous rendre à quelques encablures de là, tout en jetant un coup d’œil sur les habitations environnantes.

Interdit d'emprunter le scoot pour la visite.

 
Typiquement espagnol.

Les balcons.

Une façade qui accroche les regards.

De ravissantes statuettes ornent ce restaurant.


Le temple de Diana, déesse de la chasse, de la guerre et de la nuit.

Le temple devait ressembler à ceci.

Nous poursuivons notre progression jusqu'au fleuve Guadiana que traverse un joli pont romain pavé de 792 mètres de long. Ce vieil ouvrage de plus de 2 000 ans repose sur 60 arcs. Il est devenu piétonnier en 1991 avec la construction du pont Lusitania.  Une passerelle centrale surélevée et réservée aux piétons domine les 2X2 voies destinées aux voitures.

Le pont de pierres enjambant le fleuve.

 
Un ouvrage d'art pour les piétons.

Le pont de Lusitania a rendu le pont romain aux piétons.


La partie piétonne surélevée au centre.

La louve capitoline, légende de la fondation de Rome.

Les bandes rouges sur les façades pour la semaine sainte.

Une placette fleurie.

L'église et les 2 nids de cigognes.

 Dans l'attente d'une suite ...........................................