29 février : Vallée du Drâa

La journée du 29 février a bien débuté pour ceux qui attendaient depuis 4 ans pour planter les bougies sur leur gâteau d'anniversaire. 🎂🎂🍷🍷   Happy Birthday to you !!!

Bien commencée, cette journée aussi pour notre GPS 📇📇 qui nous a soufflé dans le creux de l'oreille : " je ne boude pas, c'est parce que la route est toute droite que je ne cause plus, je suis au repos forcé puisque je n'ai rien à dire." Bien commencée également pour notre ANP  📷📷  qui s'est rendu dans la clinique du professeur Miracle à Zagora, et le voilà donc reparti, bon pied, "bon œil" sur de nouvelles aventures. Nous remontons la vallée du Drâa bordée de palmeraies avant de grimper à jusqu'à 1800 mètres dans des paysages à retenir le souffle. Quelques touches de blanc ponctuent les plus hauts sommets. Nous redescendons à 1100 mètres pour quelques jours sur Ouarzazate. La température était de 10° à 7H30, elle affichera 28° en milieu d'après-midi. Qu'on se le dise !!!

 

Un groupe d'élèves se rendant aux cours.

 

Virage à prendre en marche arrière ? On marche sur la tête ?

Attention, police en vue.

C'est ce qui s'appelle "tombé du camion", et c'est vrai.

Un âne obéissant !

La palmeraie dans la vallée.

Virage à angle droit pour prendre le pont sur l'oued.

Les montagnes à l'horizon.

Un vendeur de dattes au bord de la route.

 

Une pause café en altitude.

De superbes montagnes feuilletées.

Les ombres et lumières dessinent les ravins.

Comme un gâteau feuilleté.

Travaux d'élargissement en cours.

Achat de souvenirs.

Darty vous livre en express.

Quelques sommets enneigés à l'horizon.

Et toujours les longues lignes droites.

Vélo et trottinette.

Et un vélo de secours au cas où !

A pied, ça va aussi.

Voici Ouarzazate, la cité du cinéma.

Une enseigne bien de chez nous.

Nous étions à cours de liquide. 💶💶💶😂😂

 

Désolés du peu, il faut recevoir comme il se doit !

Les retrouvailles avec les Dordognais.

 

26 février : Zagora en catimini

Nouvelle journée, nouvelles découvertes. D'abord, un repérage sur la carte pour suivre notre périple dans le désert.

La route de Tata à Zagora.

Retour en arrière pour ceux qui patinent dans le sable.

Nous sommes prêts pour le départ.

Est-ce que la caravane suit ? Oui, oui, en lorgnant dans notre rétro, nous avons repéré un "sacré numéro". Pas seulement un numéro, mais plusieurs.......ils étaient 10, ils étaient 20, ils étaient 100 en tout. Et c'était qui ? Et c'était qui, comme dit la chanson. Et c'était...............les Peugeot 205 du "Nomad Raid", le dernier né des raids d'aventure au Maroc sur une durée de 12 jours. Elles sont vraiment "mimi" avec leurs nouveaux décors. 

 

Les 205 relookées.

 

Breizh, c'est quel pays déjà ?

Le rose, c'est pour les filles. Son petit nom : Breizhy.

 

Celle-ci peut aussi rouler sur le toit. 😂😂😂

Roulez jeunesse !

Notre livraison d’œufs, nous avons quelques invités.

C'est pour nous ? Nos invités ne restent pas dormir.

Nouvelle campagne publicitaire d'Armor Lux.

La queue chez le boucher.

La file s'allonge semble t-il.

Avec un nom comme ça, il doit avoir la baraka !

Combien le kilo d'entrecôte ? Nous avons oublié nos lunettes.

Des tortis pour l'accompagner.

Pas de surprise, tout est étiqueté, y a qu'à peser.

Ça, c'était chez nous avant qu'Edouard ne mette son grain de sel.

Il fait chaud, 29°. Paraît-il que dans notre belle région c'est la même chose mais sans le 2 devant. La soirée approche et c'est l'heure où les Marocains sortent. Comme eux, nous décidons d'aller aux souks du soir qui se passent en plein air. Sûr que nous n'étions pas majoritaires avec nos shorts et nos tee-shirts parmi tous ces personnages drapés de la tête jusqu'aux ongles des pieds. Une certaine discrétion s'instaure lorsqu'il s'agit de prendre un cliché, on ne sait jamais. Le summum s'est déroulé sous nos yeux près de l'étalage de bassines. Des voix s'élèvent d'un alignement d'une douzaine d'hommes en djellaba agenouillés sur le sol de terre. C'est tout simplement l'heure de la prière. Puis chacun vaque à ses occupations comme si rien n'y était. Quand à nous, c'est en catimini que nous parcourons les allées et les étals à même le sol.

 

Tous les générations aux souks.

Chanel, Dior, J P Gauthier et bien d'autres.

C'est l'heure du dodo.

Pas pour moi.

Pas un seul Européen en vue.

 

Erreur, erreur,  il y en a 1.

Dépêchons, dépêchons, il n'y en aura pas pour tout le monde !

De quoi faire plusieurs tajines.

18 dhs le kilo (1,70€ à peine).

Il fait presque nuit.

Cocottes, marmites, théières.

Quelques verres pour monter notre ménage ?

 Toutes sortes d'épices, servez-vous.

Au retour, le dîner nous attend dans la ruelle.