2 février : Agadir et la panne

Agadir n'est qu'à une trentaine de kilomètres de notre camping. Nous allons y faire un tour cet après-midi. C'est une ville moderne reconstruite après le tremblement de terre de 1960. Les hôtels, boutiques et restaurants s'étalent le long de la baie, rien à voir avec la tradition marocaine.

Un moyen de locomotion digne d'un roi !

Nous avons préféré un transport plus simple.

Tout le monde dans le petit train touristique !

Sur la colline,  l'ancienne ville d'Agadir décimée par le séisme de 1960. 12 000 à 15 000 habitants ont perdus la vie. 

La voiture va briller.

Les hôtels se succèdent au bord de la mer.

L'hôtel en front de mer.

Ici, on souhaite encore la nouvelle année.

On sert de la bière, la clientèle est européenne.

La longue plage de sable fin.

Après cette petit virée, nous prenons le chemin du retour. Notre petite voiture montre des signes de faiblesse et nous préférons nous arrêter au garage. Y a t-il une concession dans le secteur ? Tans pis, on va chez l'agent du coin.

 

Pour la prise de diagnostique, à mon avis ce n'est pas de ce côté là.

Il faut traverser la rue pour prendre une clé ou un outil au garage. Par curiosité, quel est le taux d'accident du travail de la Sécu, chez vous ?

Il faut écouter le chef, il avait dit de ne pas mettre de chaussettes blanches au travail.

A trois, le dépannage est 3 fois plus rapide.

On n'est pas sûr d'être dépanné, le garage nous propose une voiture de remplacement jusqu'à demain. On rentre, qui conduit ?

Tout compte fait, nous allons rester sur place. La boutique d'à côté vend du pain, de la pâtisserie et du homard.

Et nous avions déjà fait notre provision d'oranges.

Nous tenons à vous rassurer tout de même, notre petite auto a été réparée et nous avons rejoint notre camping en soirée.